Déménager lorsqu’on est étudiant, c’est souvent une première fois. Petit budget, meubles à moitié récupérés, planning serré, et logement modeste voire précaire : les défis sont nombreux. Pourtant, avec un peu de méthode et quelques conseils bien ciblés, il est tout à fait possible de s’installer efficacement dans sa nouvelle vie étudiante. Voici un guide complet, illustré par des situations concrètes vécues à Marseille, Lille, Toulouse ou encore Montpellier.
Premier réflexe : se débarrasser du superflu avant même de faire les cartons
La majorité des étudiants déménagent seuls ou avec l’aide de leurs proches, ce qui implique un volume à transporter réduit — ou qui devrait l’être. Trop souvent, par manque de temps, ils emportent tout en vrac : cours inutiles, objets cassés, vaisselle dépareillée. Résultat : des cartons en trop, du stress le jour J, et une installation désordonnée.
Le bon réflexe ? Trier avant de commencer. Identifier ce qui sera vraiment utile dans le nouveau logement, et profiter du déménagement pour alléger son quotidien. Dans les résidences étudiantes de Toulouse ou Lyon, où les studios mesurent en moyenne 18m², chaque objet doit avoir une vraie fonction.
Adapter sa méthode au type de logement étudiant
Tous les logements étudiants ne se ressemblent pas. On peut distinguer :
- les studios en résidence universitaire (souvent meublés, avec peu de rangements)
- les colocations en centre-ville (avec chambres privées mais espaces communs à organiser)
- les petits appartements individuels (où l’étudiant est responsable de tout l’aménagement)
À Montpellier, par exemple, beaucoup d’étudiants optent pour des colocations dans des vieux immeubles sans ascenseur. Cela change complètement la logistique : mieux vaut démonter les meubles au départ, limiter les objets encombrants, et éviter les électroménagers lourds que l’on pourrait trouver sur place.
Organiser son transport avec méthode, même sans voiture
Un autre point de blocage fréquent chez les étudiants : l’absence de véhicule adapté. Or, réserver un utilitaire sans s’y prendre à l’avance peut devenir hors de prix, surtout en août. Dans certaines villes comme Lille ou Rennes, la demande explose à la rentrée, et les agences locales sont saturées dès la mi-août.
Logimed propose des formules économiques pour les petits volumes, avec créneaux groupés entre étudiants d’un même secteur. Cela permet de mutualiser les trajets et de réduire drastiquement les coûts. La société propose aussi des solutions avec aide au portage uniquement — idéales pour les logements en étage sans ascenseur.
Anticiper l’installation pour ne pas se retrouver sans le minimum
Une fois sur place, il est fréquent que l’étudiant découvre que certains éléments essentiels manquent : pas de rideaux, pas de lampe, pas de casseroles… Pour éviter ce genre de désagrément, il est conseillé de constituer un “kit de survie étudiant” avant le départ :
- linge de lit, vaisselle de base, multiprise, ampoules, papier toilette
- documents administratifs (carte d’identité, attestation de logement, CV, RIB)
- chargeurs, sacs poubelle, scotch, quelques outils
Logimed fournit à ses jeunes clients une fiche pratique téléchargeable contenant tous les essentiels à réunir, en plus d’astuces pour optimiser l’espace dans un studio.
Cas concret : réussir son déménagement étudiant à Marseille
À Marseille, de nombreux étudiants emménagent autour de Castellane, Timone ou le Vieux-Port. Beaucoup de logements sont en étage sans ascenseur, avec peu de stationnement. Logimed recommande ici une stratégie particulière : réserver un créneau très tôt le matin (moins de trafic), regrouper les cartons les plus lourds dans un sac à roulettes pour éviter les allers-retours inutiles, et prévenir le syndic ou les voisins du déménagement à l’avance.
Autre astuce : ne pas négliger l’humidité. À Marseille, certains appartements anciens sont mal ventilés. Il vaut mieux éviter d’y stocker des vêtements sensibles ou du papier en vrac sans protection étanche.
Conclusion : un déménagement étudiant, ça s’apprend
Déménager pour ses études est un apprentissage en soi. Ce n’est pas qu’une question de cartons, mais une première grande étape vers l’autonomie. En adoptant une méthode claire, adaptée au logement et à ses propres moyens, on évite les erreurs de débutant et on s’installe plus vite, plus léger, plus serein. Et avec les services adaptés proposés par Logimed, même sans voiture ni expérience, on peut aborder cette transition avec confiance.